Vendredi 15 juillet
CINEMA EN PLEIN AIR !
CINEMA EN PLEIN AIR !
Ouverture de la buvette et petite restauration à 19h30
22h30 Projection
3 films courts, rares et primés, singuliers et libres :
– VIKKEN de Dounia Sichov – 2021 – 27 minutes :
Vikken est transgenre. Il s’apprête à prendre des hormones pour la première fois. Il enregistre sa voix qui va disparaître, et convoque les figures du passé du monde entier pour un dialogue intime avec lui-même.
Vikken est transgenre. Il s’apprête à prendre des hormones pour la première fois. Il enregistre sa voix qui va disparaître, et convoque les figures du passé du monde entier pour un dialogue intime avec lui-même.
– L’AMOUR EXISTE de Maurice Pialat – 1960 – 21 minutes
Récompensé à Venise en 1960, le premier film professionnel du réalisateur de L’enfance nue, Police, Van Gogh est une exploration poétique et acerbe saisissant la banlieue, ses espaces, ses habitants et ses mutations. Loin de la carte postale, L’Amour existe est un film beau, rèche, nécessaire.
Récompensé à Venise en 1960, le premier film professionnel du réalisateur de L’enfance nue, Police, Van Gogh est une exploration poétique et acerbe saisissant la banlieue, ses espaces, ses habitants et ses mutations. Loin de la carte postale, L’Amour existe est un film beau, rèche, nécessaire.
– LE TRANSFORMATEUR de Pierre-Edouard Dumora – 2020 – 35 minutes
Novembre 2009. Je marche depuis l’appartement de mon enfance dans le 16ème arrondissement de Paris jusqu’au transformateur électrique de Clichy-sous-Bois où sont morts brûlés Zyed Benna et Bouna Traoré le 27 octobre 2005, poursuivis par la police. Leur mort a déclenché les émeutes de banlieues de 2005. Des beaux quartiers jusqu’au transformateur, il y a quatre heures de marche.
Novembre 2009. Je marche depuis l’appartement de mon enfance dans le 16ème arrondissement de Paris jusqu’au transformateur électrique de Clichy-sous-Bois où sont morts brûlés Zyed Benna et Bouna Traoré le 27 octobre 2005, poursuivis par la police. Leur mort a déclenché les émeutes de banlieues de 2005. Des beaux quartiers jusqu’au transformateur, il y a quatre heures de marche.
* * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * * *
SAMEDI 16 ET DIMANCHE 17 juillet entre chiens et loups (ouverture des portes à 19h30)
THEATRE EN PLEIN CHAMP !
DENKI NO MERODI est une création conçue, jouée, chantée sur Le Champ de la Garde (de La Ferme du Bonheur) et écrite pour et par trois artistes de théâtre de générations différentes (Diane Saimond, Mélanie Malgorn, Fleur Sulmont). Jouant de nous et d’elles-mêmes, elles témoignent de ce que c’est que d’être une fille, une comédienne, comment le(urs) corps s’expose(nt). Au bal des débutantes, tout se réinvente, et des liens naissent.
Dans cette divagation, on croise une créature, une meuleuse, des paysanes en fichu, des sorcières, les fantômes de Michel Foucault et de Nico.
Le texte a été écrit à partir de témoignages et récits personnels, auxquels s’ajoutent quelques extravagances et une larme de seum. Alchimie ? Wait & See…
Comments by La Ferme Du Bonheur